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« Trois nouvelles poésies non hallucinées »

Livre bibliophile, livre unique  écrit et lu par Alain Marc

« Territoires inconnus »

La lucarne des écrivains : du 16 au 30 septembre 2019 (Paris, rue de l’Ourcq)

« Quand je peins, je ne sais jamais à l’avance ce que je vais faire. Je ne me demande pas ce que je vais peindre. Je peins d’ailleurs sans savoir ce que je peins, j’essaye d’oublier que je peins. Je me suis même demandée ces derniers temps : Qu’est ce peindre ? Peindre, c’est donner à lire l’invisible, c’est faire remonter à la surface des choses inconnues, et les rendre plus inconnues encore : mystérieuses. Alors, sur une feuille, une toile, un bout de bois… je jette de l’encre, de l’acrylique, du sable, de l’huile, et parfois même de l’acide… Je crée des coulures, des biffures et des taches. A partir de ces matières qui s’attirent ou se détournent, des paysages se forment, des chemins s’entrelacent, des gouffres se creusent, l’horizon se met en place. Ce sont des paysages qui n’existent pas, des paysages qui existent en moi, des territoires inconnus. » Alexandra Fontaine

Territoires inconnus/exposition

Exposition du 1er au 22 juin 2019
Galerie in-situ
www.labelfriche.com

Peinture

Sculpture

Illustration pour le nouveau projet d’opéra de rue « Johnny Schicchi », librement inspiré de l’opéra Gianni Schicchi de Giacomo Puccini par la Cie Les Grooms

Opéra de rue pour fanfare, librement inspiré de l’opéra Gianni Schicchi de Giacomo Puccini. Mise en scène E.Grebot, Texte Eugène Durif. Cie Les Grooms : groupe international ayant tourné dans 39 pays sur les 5 continents.

Installation pour un corps en morceaux

Extrait d’une installation mise en exposition au Grand Palais dans le cadre du salon Comparaisons, groupe « singulière sculpture », du 12 au 17 février 2019, https://comparaisons.org

 

 

 

Atelier-Galerie 51 à Alençon

Atelier-Galerie 51

Du 10 au 25 novembre,

Le bestiaire d’Orphée

 

 

Vivre l’art-magazine

Vivre l’art-magazine, blog d’art actuel et magazine d’art créé par Lucien Ruimy , texte de Thierry Gaudin

Absence et disparition, L’Ampoule n°23, éditions de l’Abat-jour

Traces d’un paysage qui n’existe plus mis en page par les éditions de l‘Abat-jour : édition pour Littérature exigeante et atypique, romans dérangeants, nouvelles incorrectes, humour noir et mauvais genre revendiqués

résidence peinture en milieu scolaire, trois mois à l’école primaire Maurice Thorez,Trappes-en-Yvelines

Pendant l’hiver 2017, les enfants de l’école primaire Maurice Thorez ont réalisé un travail autour du paysage :
A travers un choix de poèmes courts et en lien direct avec la nature, ils ont travaillé sur l’interaction poésie/peinture  :
Leur travail a été exposés en relation avec mon exposition à L’EMD (Trappes) et l’hôtel de ville
Trois dessins d’enfants :

Une nuit pour Fukushima

100 masques est un projet d’installation pour 100 visages en suspension faisant réponse à l’appel à insurrection artistique lancé par la compagnie théâtrale Brut de Béton production contre la poursuite de la contamination radioactive de la planète.

Exposés en mars 2016 à la maison de l’arbre à Montreuil, puis à Fontenay-sous-Bois (93) dans le cadre de l’évènement Artcité fractions, au grand Palais dans le groupe « Singulière sculpture ».

 

Macka-Les Cent masques d’Alexandra Fontaine

En avril 1986, les premiers liquidateurs de Tchernobyl portaient des masques de la seconde guerre mondiale, totalement inutiles pour se protéger des radiations. Un raccourci saisissant de l’absence de considération pour des habitants plongés dans une catastrophe écologique sans précédent.
Les cent masques d’Alexandra Fontaine suggèrent cette tragédie renouvelée du peuple ukrainien, celle de guerres dîtes patriotiques, en 1945 et 1986. Ils témoignent du sacrifice de ces femmes et de ces hommes et nous interrogent sur nos responsabilités.
Dans l’installation à la maison de l’arbre à Montreuil (93), les masques flottaient dans l’espace-traversés par la lumière-à la fois semblables et totalement différents, en mémoire de tout une communauté villageoise disparue.
Les masques d’Alexandra Fontaine peuvent également être portés, tels les masques de pierre de bois et de feuille, masques de plume, masques de beauté ou mortuaire, masques peints en direct sur la peau avec le noir du maquillage, qui en dissimulant les visages révèlent les histoires oubliées de l’humanité.
En 2016, certains habitants de Tchernobyl sont rentrés vivre dans la zone interdite en dépit du danger. C’est le cadre de l’histoire de Au début et à la fin des temps, la très belle pièce du dramaturge ukrainien Pavlo Arie. On pourrait imaginer sans peine, que les acteurs interprétant les personnages de ce texte, portent les masques d’Alexandra Fontaine.

M.T, 25/05.16, Paris